Suzanne
Voyage à itinéraires multiples à travers la silhouette des choses. .
Résumé / Équipe / Dates / Presse
Voyage onirique de deux jeunes hommes partis à la recherche d’une femme dont ils ne connaissent que le prénom. A partir d’objets abandonnés, d’une garde robe retrouvée, ils cherchent à donner une image à celle qui s’appelle Suzanne et qui les suit.
Production : Collectif Quatre Ailes.Coproduction : Mairie de Paris
Générique
Damien Saugeon et Michaël Dusautoy
écriture/dramaturgie Cécile Laffon
documentaliste/improvisations Claire Corlier
chorégraphies Damien Saugeon
scénographie Michaël Dusautoy
voix Charo Urteaga
environnement sonore Damien Saugeon et Yann Schmitt
piano Nicolas Séguy
lumières Yves Collet
pantin alimentaire Laurence Tuot
vidéo Annabelle Brunet et Michaël Dusautoy
costumes Marine Bragard
réalisations textiles Julie Hauwuy, Claire Corlier et Marine Bragard
Calendrier
Mai 2004 : L’Aqueduc à Arcueil (94)
Avril 2004 : Festival de la jeune création à Houilles (78)
Février 2004: Théâtre de la source à Bègles (33)
Janvier 2004 : Centre d’Animation Mercoeur à Paris (75)
Avril 2003 : Naxos Bobine à Paris (75)
La Presse
Télérama – Cathy Blisson – Avril 2004
« On ne sait pas très bien qui c’est cette Suzanne – une grand-mère, une arrière-tante ? –, mais Damien Saugeon et Michaël Dusautoy, comédiens du Collectif Quatre Ailes, vont la chercher sans relâche. Reconstituer le puzzle d’une existence fantomatique, au travers de bibelots et de vêtements ; de photos, de sons, d’images et même d’explorations intérieures reconstituées sur grandécran ; de saveurs sucrées, agglomérées en pantin alimentaire baptisé “ Mini Suz “. Et si on la connaissait nous aussi, cette mythologie de femme nommée Suzanne ? »
Sud-Ouest – Jean-Noël Cadoux – février 2004
« Suzanne, voyage à itinéraires multiples à travers la silhouette des choses “ se pose au carrefour des arts vivants, entre le jeu scénique, la poupée, le personnage-fantôme passant en vidéo dans un décor mouvant. […] Ouvrant comme une poupée russe la chambre de la disparue, deux témoins en quête de traces vont jouer durant une heure dans l’amoncellement des souvenirs glissant sur eux tel un inventaire à la Perec : images vidéo avalant leur visage, miroir magique, hilarant défilé de mode, voix d’outre-temps revenant les interpeller (“ As-tu fini tes devoirs? “), parcours en abyme dans les méandres de cette “ Oublieuse mémoire “ dont parlait Supervielle. »
L’Ovillois, Yvelines – avril 2004
« Suzanne invite le spectateur à sortir des sentiers battus et à garder l’esprit en éveil faisant son propre chemin, en bâtissant sa “ Suzanne ” à partir du puzzle qui lui est proposé. “